
Bienvenue chez HABDAPHAI ART PERFORMANCE
Découvrez un univers artistique unique mêlant performance, photo, installation, peinture, livre, sculpture et vidéo art. Plongez dans l'expression de l'identité à travers les œuvres d'Habdaphaï.
Habdaphaï
Nourri par une culture syncrétique, Habdaphaï conte sur les murs et des objets singuliers des histoires en séries déclinant la problématique identitaire et ses cheminements. Sautant de flaque en sillon, avec plus d’un tour dans sa besace, il sème pour entrer en résistance, prendre son envol ? s’insérer dans l’espace -temps pour nous inviter au partage.
Les dessins en noir et blanc, à l’encre et au feutre, offrent un tracé précis, à même la peau, avec talent de dentellière. Un personnage, bien campé sur ses jambes, porte comme un fardeau et comme une victoire, au-dessus de sa tête « l’autre » et « l’entre-soi » pour traverser l’histoire bouleversée des hommes. Territoires à conquérir et à apprivoiser : la marche est longue et le chemin est labyrinthe .....


Performance artistique
Quand la scène, pendant plus de vingt ans, n’est plus, alors, à la recherche de l’espace, la performance, avec tous ses sens, donne des éléments de partitions à partager. Je deviens alors le performer qui vit et raconte la vie de dizaines de personnages et les gestes du quotidien. Ici, c’est un rassemblement de mes performances les plus marquantes, pour offrir un moment de partage d’une heure trente.
Que les partitions et les énergies continuent à distiller le sens des gestes du quotidien. Performance artistique - Vivez des histoires en mouvement avec des gestes chargés d'émotion.
Habdaphaï est un raconteur d’histoire
qui sait tirer les leçons du passé et des
différents héritages reçus afin
d’expliquer et d’exprimer ce qu’il
ressent grâce à un langage symbolique
qui lui est propre.
Tout est rituel et chacune de ses
œuvres possède des significations ou
chaque symbole devient l’un des
éléments de la réponse à la question
« qu’est-ce-que la vie? »
Sa force de création est certainement
d’avoir su assumer la pluricultarité de
ses origines, d’en avoir fait une force
de combat artistique, lui permettant
de dépasser ses limites humaines afin
de créer une nouvelle voie pour aller
vers le sacré

Installation immersive

Habdaphaï
Nourri par une culture syncrétique, Habdaphaï conte sur les murs et des objets singuliers des histoires en séries déclinant la problématique identitaire et ses cheminements. Sautant de flaque en sillon, avec plus d’un tour dans sa besace, il sème pour entrer en résistance, prendre son envol ? s’insérer dans l’espace -temps pour nous inviter au partage.
Les dessins en noir et blanc, à l’encre et au feutre, offrent un tracé précis, à même la peau, avec talent de dentellière.
Un personnage, bien campé sur ses jambes, porte comme un fardeau et comme une victoire, au-dessus de sa tête « l’autre » et « l’entre-soi » pour traverser l’histoire bouleversée des hommes. Territoires à conquérir et à apprivoiser : la marche est longue et le chemin est labyrinthe.....
Installation immersive - Explorez des mondes parallèles où réalité et fiction se confondent.






Je trouve étonnant que certains affirment que les artistes sont engagés ou en résistance, car l’artiste, tout au long de son existence, est un artisan des émotions qui les élève et les transmet. Par la nature même de son œuvre, il demeure en périphérie, souvent perçu comme un élément à écarter en temps de crise. Son engagement et sa capacité à résister sont ancrés en lui dès son premier geste créatif. C’est en cela que l’artiste se distingue du reste de la société : il est un être de liberté et de réflexion.
Il transcende les frontières idéologiques, qu’elles soient politiques, spirituelles, populistes ou empreintes d’intolérance et d’individualisme. L’artiste est une entité singulière, semblable au soleil, à la lune, au vent. Il entretient une connexion intime avec la nature et incarne toutes ses vibrations. C’est pourquoi j’établis une distinction entre l’homme ordinaire, "le citoyen", et l’artiste, qui, par sa sensibilité et sa vision, devient un architecte de conscience, un porteur d’éthique, un capteur de lumière destiné à illuminer les voies de la pensée. Il nous invite à traverser l’existence avec équilibre et sagesse. Dans son essence même, l’artiste est un passage, un médium qui relie les mondes visibles et invisibles.
Foire aux questions


Voici une proposition de réécriture approfondie et analytique du texte, sous forme d'article de presse d’environ 14 000 signes (espaces compris), qui interroge la notion
À qui appartient l’art ? L’œuvre, le regard, et le bien commun
La question semble simple, presque naïve : à qui appartient une œuvre d’art ? À celui qui l’a créée ? À celui qui l’achète ? À celui qui la contemple ? Ou bien à personne – ou plutôt à tous – car l’art, dans son essence, transcenderait toute notion de propriété ? Derrière cette interrogation se cache un débat aussi ancien que la pratique artistique elle-même, un débat qui croise esthétique, économie, droit, philosophie, et spiritualité. À l’heure où le marché de l’art pèse des milliards, où les musées tentent de décoloniser leurs collections, et où les artistes questionnent sans relâche les cadres de la création, cette question mérite qu’on s’y arrête.
L’artiste : créateur ou dépositaire ?
Commençons par ce qui semble évident : une œuvre d’art naît du geste de l’artiste. Il ou elle la conçoit, la façonne, la porte parfois pendant des années avant qu’elle n’émerge au monde. Dans cette logique, l’artiste serait donc le propriétaire naturel de l’œuvre, au même titre qu’un auteur l’est de son texte, ou un inventeur de son brevet. Le droit d’auteur repose sur cette idée : celui qui crée détient, par défaut, les droits moraux et patrimoniaux de son œuvre.
Mais l’art n’est pas un simple objet manufacturé. Il s’y loge autre chose : une part d’invisible, une vision, un fragment du monde transfiguré. Certains artistes eux-mêmes refusent cette notion de propriété. Ils se voient non pas comme les propriétaires de ce qu’ils font, mais comme des passeurs, des médiums. Beaucoup parlent d’inspiration comme d’un souffle venu d’ailleurs, d’un appel auquel il faut répondre. À ce titre, l’œuvre leur « traverse » plus qu’elle ne leur « appartient ».
Et que dire de l’art qui émerge des traditions orales ou collectives, des pratiques artisanales ou rituelles ? Qui est le propriétaire d’un motif tissé transmis depuis sept générations ? Qui détient les droits sur un chant cérémoniel ou une fresque murale communautaire ? L’artiste moderne, individualisé, signé, est une invention de l’Occident post-Renaissance. Partout ailleurs – et souvent dans les marges du monde globalisé – l’art se fait à plusieurs mains, dans un lien profond avec un territoire, un peuple, une mémoire. Ici, parler de propriété individuelle devient presque une violence symbolique.
Le collectionneur : possesseur matériel, dépositaire d’un pouvoir
Mais l’œuvre ne reste pas dans l’atelier. Elle circule. Elle est vendue, offerte, exposée. Elle entre dans des circuits, des marchés, des patrimoines. Le collectionneur – ou l’acquéreur – devient alors le propriétaire matériel de l’œuvre. Il ou elle peut l’accrocher dans son salon, la prêter à un musée, la conserver dans un coffre. C’est lui qui décide, souvent, de son destin.
Pour certains, cela va de soi. L’achat transfère un droit de propriété. Pour d’autres, cela pose question : peut-on vraiment posséder ce qui est d’ordre spirituel, symbolique, sensible ? La possession ne donne pas le droit de tout faire. Même les droits patrimoniaux ont leurs limites. Ainsi, en France, le droit moral de l’artiste est inaliénable : même après la vente, il peut s’opposer à une modification de son œuvre ou à une utilisation dévoyée.
Mais au-delà du droit, il y a une dimension politique. Celui qui possède une œuvre détient aussi un pouvoir symbolique. Accumuler de l’art, c’est parfois accumuler du prestige, de la distinction, voire un capital social. C’est aussi orienter le récit artistique : que collectionne-t-on ? Quels artistes sont achetés, valorisés, mis en lumière ? Là encore, la question de la propriété rejoint celle de l’influence, et donc de l’inégalité.
Le public : regardant, ressentant, revendiquant
Et le public, dans tout cela ? Celui qui regarde, qui ressent, qui pleure, qui rit, qui s’indigne ou qui comprend soudain une vérité qui lui échappait ? Celui qui, parfois, se reconnaît dans l’œuvre, y voit un miroir ou une blessure, une mémoire ou un avenir ? A-t-il un droit sur l’œuvre ? Peut-il revendiquer une forme de possession, même symbolique ?
Là encore, la réponse est complexe. D’un point de vue juridique, non. Mais sur le plan du sensible, peut-être que si. Une œuvre ne prend sens qu’au moment de sa réception. Un tableau sans regard est un objet mort. C’est dans la rencontre – entre l’intention de l’artiste et l’interprétation du public – que naît l’art véritable. Dans cette alchimie, une part de l’œuvre se détache de son créateur pour aller vivre ailleurs. L’œuvre entre dans la culture, dans le commun, dans le champ partagé du symbolique.
L’art comme bien commun : une utopie nécessaire ?
Dès lors, peut-on affirmer que l’art, dans sa nature la plus profonde, est un bien commun ? L’idée n’est pas neuve. Déjà dans l’Antiquité, certaines œuvres étaient conçues pour le collectif : fresques dans les temples, statues dans l’agora, chants dans les théâtres. Elles participaient d’une mémoire partagée. Aujourd’hui, on parle de plus en plus de « communs culturels », dans la lignée des « communs » écologiques ou numériques. L’idée : sortir de la dichotomie entre propriété privée et propriété publique, et penser des formes d’appropriation partagée, d’accès équitable, de responsabilité collective.
Cette conception bouleverse les logiques de marché, mais aussi les institutions. Elle implique de revaloriser les artistes sans les transformer en fournisseurs d’un produit consommable. Elle implique aussi de rendre l’art accessible, de l’arracher à l’élitisme, à l’entre-soi, au fétichisme des galeries. Elle implique enfin de reconnaître les savoirs vernaculaires, les formes artistiques non-occidentales, les expressions marginales, comme des parts essentielles du patrimoine commun de l’humanité.
Conclusion : une œuvre est un carrefour
Alors, à qui appartient une œuvre d’art ? Peut-être à personne. Peut-être à tout le monde. Ou peut-être à elle-même, comme un être vivant qui a sa propre trajectoire. L’artiste la met au monde, le collectionneur l’abrite, le public la fait vivre. Mais dans le fond, elle appartient au temps, à l’imaginaire, à la mémoire collective. Elle est un carrefour, une passerelle, un feu allumé au bord du chemin.
Et dans un monde traversé par les crises – crises d’identité, crises écologiques, crises de sens – penser l’art comme un bien commun n’est pas seulement un geste éthique. C’est une nécessité politique. Car ce que nous partageons par l’art, c’est peut-être, au fond, ce qui nous lie encore les uns aux autres.



Comme si toute la geste créatrice d’Habdaphaï pouvait être contenue, retenue, freinée, contrôlée par l’ordre social, la pensée cartésienne, la modernité fabriquée, imposée. Comme si l’horizon dans son immensité circulaire, déterminait l’échelle des rêves, de l’expérience, du vécu.
Parce que, l’œuvre protéiforme d’Habdaphaï, échappe à toute doctrine, à toute velléité de fixation et par conséquent, à toute classification, ce caractère réfractaire à catégorisation, dérange les doctrinaires de l’art contemporain caribéen.











Tel un poème sonore extrait d’un chant entier de Nicolas Guillén, l’œuvre plastique d’Habdaphaï convoque les sensations. Pas n’importe lesquelles.


L’œuvre protéiforme d’Habdaphaï, échappe à toute doctrine, à toute velléité de fixation et par conséquent, à toute classification ; elle reste réfractaire à toute catégorisation. Par-delà son harmonie plastique, son authenticité, sa sincérité ne manquent pas d’émouvoir.

Les artisans de la terre
Exposition composée de dessins, peintures, d'objets, de photographies digitales, d'installations et d'une performance.
Je publie les premières bribes de ce travail sur les termitières, commencé en 2024, une réflexion sur le vivant, ancrée dans l’histoire de l’art de la Caraïbe. Cette recherche, nourrie par la persévérance, interroge notre rapport au monde, la mémoire des formes et l’élan créateur des écosystèmes. Elle me permet de mieux comprendre mon passage, mon rôle de gardien et mon dessein dans l’art.
Les Artisans de la Terre
Une fable dédiée à l'exposition.
Il était une fois, au cœur des vastes savanes et des forêts profondes, une colonie de petits bâtisseurs, les termites. Invisibles ou monumentaux, leurs ouvrages parsemaient le paysage, sculptant le sol et élevant des citadelles de terre séchée.
Parmi eux, le termite boussole, maître de l’orientation, dressait de grandes flèches de terre, toujours alignées sur la course du soleil. À l’aube et au crépuscule, ses murailles se gorgeaient de lumière, tandis qu’au zénith, elles s’amenuisaient pour éviter l’ardeur du jour. Par ce prodige, la fraîcheur régnait au cœur de la demeure, et la vie s’y épanouissait.
Non loin, les humbles Psammotermes, discrets architectes souterrains, creusaient en silence des galeries invisibles. De leurs entrailles jaillissaient des monticules de terre, enrichis par le labeur incessant des ouvriers. Sans eux, la terre se figeait, stérile et dure. Mais grâce à leur ballet incessant, les sols respiraient, fertiles et généreux.
Un jour, un tamarinier, sage centenaire enraciné sur une ancienne termitière, confia à ses semblables :«Ces modestes artisans sont nos bienfaiteurs. Par leurs tunnels, ils guident l’eau jusqu’à nos racines. Par leurs débris, ils enrichissent notre sol. Sans eux, bien des forêts ne seraient qu’un désert aride. »
Ainsi, dans cette danse invisible où chaque être trouve sa place, les termites, petits mais ô combien essentiels, façonnaient le monde à leur manière.
Moralité : Comme les termites sculptent la terre, les artistes façonnent notre regard. Ce que l’on croit inerte peut receler une vie insoupçonnée. Derriere chaque objet, chaque trait, chaque matière, sommeille une histoire qui attend d’être révélée.
Les Termitières - Entre Magie, Mystère et Croyances Populaires
Les paysages africains, asiatiques et sud-américains sont souvent ponctués de ces étranges formations que sont les termitières. Colonies d’insectes infatigables, elles fascinent et intriguent depuis des siècles, donnant naissance à une riche tradition de dictons et de croyances populaires.
« Qui détruit une termitière défie les esprits de la terre. »
Dans certaines cultures, les termitières sont perçues comme des passerelles entre le monde des vivants et celui des ancêtres. La croyance veut que toucher ou déranger une termitière sans précaution puisse attirer des malédictions.
« Ne pointe pas ton doigt vers une termitière, de peur que ton chemin ne se referme. »
Derriere chaque termitière se cache une légende, une sagesse, une voix ancestrale qui chuchote à ceux qui savent écouter.
Les Serpents et les Termitières
Les serpents trouvent souvent refuge dans les termitières abandonnées. Pour certaines cultures, la présence d’un serpent dans une termitière est le signe d’une énergie puissante.
« Là où niche le serpent, la terre parle. »
Certains peuples considèrent que ces reptiles sont les gardiens des lieux et qu’ils détiennent une connaissance secrète.
Les Prédateurs des Termitières
Parmi les prédateurs des termites, on retrouve les fourmiliers, les pangolins, les oiseaux insectivores et certains reptiles. Ces prédateurs participent à l’équilibre écologique.
« Si les termites disparaissent, la terre s’étouffe. »
L’analyse des interactions entre ces espèces révèle la complexité des écosystèmes.
Ainsi, l’étude des termites et des termitières ne se limite pas à une simple observation scientifique. Elle est aussi un voyage au cœur des croyances, des mythes et des équilibres nature.



Exposition sur la série des Termitières 2025




Habdaphaï : La Martinique au coeur
D.Brébion
On reconnaît dans ces entrelacs toujours très présents dans ses œuvres l’empreinte de la découpe sérigraphique de ses années d’apprentissage au service municipal d’action culturelle de Fort – de – France. Ils pourraient faire penser à des lianes de tamarins ou à des roseaux qui se tordent mais pour l’artiste, ils symbolisent les mots. Ils sont l’attribut du signe Porteur de mots. C’est une figure symbolique en hommage au conteur de nuit qui, par son verbe, aidait l’esprit du mort à quitter son corps lors des veillées mortuaires traditionnelles. Et le Porteur de mots est en dialogue constant avec L’Homme à la tête de cocolobes ou l’Etre des lunes multiples. Ces personnages issus de son alphabet migrent des dessins aux toiles, des toiles aux impressions numériques pour raconter la Martinique telle que la perçoit le plasticien . S’il n’est pas évident de décrypter l’histoire, il suffit de se laisser porter simplement par l’harmonie graphique et colorée.








“Les créations d'Habdaphaï m'ont transporté dans un monde parallèle où l'art prend vie. Une expérience visuelle et émotionnelle inoubliable.”
[Jean Dupont]

""De fait, il ne s’agit pas seulement d’un corpus inclassable fabriqué par un artiste libre et autodidacte, inscrit en faux vis-à-vis des institutions académiques. Mais encore, l’ensemble de l’œuvre soulève les sensations d’un passé que l’on voudrait avoir rêvé. Un passé enfoui. Une mémoire dispersée. Litanie de « perdus de vue ».Dès lors, présenter un regard rétrospectif sur les créations visuelles d’Habdaphaï, introduit de multiples risques, celui de méprise sur l’essentiel du travail, celui de céder à l’emprise séductrice des accumulations, de privilégier l’abondance, la générosité, la productivité, l’hyperactivité, la créativité à fleur de peau de l’artiste, au détriment de l’unicité sensible de son « chant entier ».""
Barbara Prézeau-Stephenson, Commissaire d’exposition
Contactez-nous
Pour toute demande d'information ou de réservation, n'hésitez pas à nous contacter. Nous sommes à votre disposition pour vous guider dans l'univers artistique d'Habdaphaï.
Quand on prend de l'âge comme moi habdaphai et on fait un nettoyage d'atelier qui garde quarante ans d'émotions,de voyages dans la création plastiques,on se pose la question pour qui tout cela,mes héritiers seront ils clément envers ce travail ou toute les matières,ou ces morceaux de conversation se retrouvent entassés dans un espace de soixante dix mètres carrés une montagne de moments de glyphes,de sable de cap macré symbolisant les esprits des différents ancêtres mises en lumières par cette matière harmonieuse appeller vulgairement ocre jaune,des milliers de kilomètres rizhomiques pour faire corp avec la Martinique mon lieu d'attache,ma mère nourricière des milliers de batons de pastels gras,une multitude de boîtes de peinture acryliques,sans oublier de la toile,du papier,du carton,du bois,du fil de fer,fil de nylon encore et encore.tout ces voyages avec mes partenaires,mes guides que l'ont sent mais que l'on ne voit pas.dans cette atelier mémoire qui représente un malheur pour le nettoyage,le rangement et la destruction de quelques centaines de peintures d'objets car les rats,les cafards ont fait un tout sympathiques,mais ont lasser des traces de leurs passages,je pourrais dire un try sélective.bref tout ce la pour arriver sur une exposition de rue que j'avais réaliser en partenariat avec la ville de fort de France,un grand remerciement a Marie Claire Delbé photographe et professeur de la photographie au SERMAC m'avais donné l'autorisation d'utiliser une de ces photos d'Aimé Césaire pour faire cette série de photos digitales,et aussi une autre photo électorale que j'avais récupéré,mais j'ai jamais su qui était l'auteur,en ce petit temps pose precieux je leurs rend hommage.en 2003 pour l'anniversaire du poète j'ai proposé a ma ville cette exposition,et se fut avec plaisir que j'ai travaillé avec madame Landis sur ce projet...depuis longtemps je voulais rendre hommage a cette belle rencontre de ce monument qui est venu a la rencontre de ma famille dans le quartier de grosse roche enclave entre canal trenelle et le quartier Citron et a pour a mes parents de m'inscrire a l'Omdac,qui est devenu par la suite le SERMAC,et grâce à cette rencontre pour le bornage d'un terrain près de la rivière grosse roche dite rivière madame ,je suis sortie vers le haut en comparaison de beaucoup de mes voisins qui ont péri par les faits sociaux,et qui ont pas pu saisir la chance de côtoyer les chemins de la connaissance et de la culture, voilà cette série de photos était aussi pour moi de montre au public martiniquais que sans cet homme Aimé Césaire, et les autres personnes qui l'accompagnaient habdaphai aurait pas existé,car a partir de ce moment là l'Omdac et le SERMAC ma nourri ,et ma construit avec les connaissances des militants culturelle,Alfred Varasse ,pour le tambour, Vava Grivalier ,Jean Claude Lamorandiere ,Osmane Seck,Jean Claude jadick , Ti-Emile,Josy Michalon pour la danse,Luc Marlin pour la découpe et sérigraphie,Raymond Sinamal et L.Michel pour la céramique,Jacky Alpha pour la batterie,Roger Robinel pour le théâtre ,M.C.Delbé pour la photo et toute les rencontres ce le lieu le SERMAC ma fait comme cadeau, d'enfance, d'adolescent et d'adultes,ce fut ma façon a moi de remercier le poète qui m'a aider par son travail et aussi financier pour que je soit là aujourd'hui au fleur de l'âge dans cinq si le souffle de vie ne quitte ma matière de corp , j'aurais soixante dix ans,et c'est un vrai plaisir de revenir sur mon histoire d'homme et d'art contemporain,l'art de vivre dans cette espace de Martinique qui poursuit sa construction...et je fus très béni de vivre toute cette histoire d'art , de pratique et de partage.

Mes ces airs...... photos digitales




Qui sommes nous ?
HABDAPHAI ART PERFORMANCE est un espace d'art contemporain situé à Marin, Martinique. Fondé par Habdaphaï, artiste aux multiples talents, cet espace est dédié à la création artistique sous toutes ses formes. Explorez un monde où l'expression de l'identité et des émotions se mêle à la performance, à la photo, à l'installation, à la peinture, au livre, à la sculpture et à la vidéo art.
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